Pédophilie: GAUCHE vs FREYSINGER

07.05 Christine Bussat, présidente de la marche blanche suisse, réagit aux propos du Conseiller Sommaruga: "Un ramassis de conneries" !

Christine Bussat a tenu personnellement à répondre aux propos du Conseiller national socialiste Carlo Sommaruga. Mise en garde:

"J’ai écouté le ramassis de conneries de M. Sommaruga. De toute évidence, il prend les parents, les citoyens, pour des demeurés.
Il met le tabou de la pédophilie sur le compte de l’Eglise.
Il laisse entendre un peu trop clairement que le problème de cette initiative, c’est Freysinger et non le texte en lui-même.
Il dit que les statistiques démontrent que 95% des abus sont commis dans la famille. Je me demande où il est allé chercher ce chiffre.
Il ne dément pas qu’il y a de la pédophilie sur internet, mais il a dû manquer une page de ces fameuses statistiques: 70% de hausse des sites pédophiles en 2003 !
Il oublie que la pédophilie sur internet, ça n’a rien de virtuel, et que derrière chaque image, il y a un enfant.
Il dit qu’à tout moment on pourrait connaître le passé du pédophile. Un extrait de casier judiciaire ne peut être demandé par une tierce personne. M. Somaruga ne sait-il donc pas çela ?
Il suggère des thérapies et des traitements pour les pédophiles. En dehors du fait que la majorité des citoyens n’ont que faire du bien être du pédophile, M. Sommaruga oublie que les victimes (d’abord !) manquent cruellement de structures !
Je remercie toutefois M. Sommaruga pour la faible tenue de route de ses propos, qui, j’en suis sure, renforceront dans leur conviction ceux qui tiennent à l’intégrité des enfants davantage qu’à l’envie de contredire la partie adverse !".

Auteur d'une initiative parlementaire pour la non-radiation du casier judiciaire des condamnations pour pédophilie, actuellement en commission juridique, le Conseiller national Oskar Freysinger (UDC, VS) dit avoir été violemment pris à parti par des Conseillers issus de la gauche parlementaire. Bilan: La commission sursoit, on en reparlera lors de la prochaine révision du code pénal... ou à la Trinité. Cette initiative, si elle avait été adoptée, aurait pu empêcher, dès à présent, un grand nombre de récidives.
Depuis mai 68, la gauche n'a décidément rien oublié, rien appris. Vouloir distinguer "pédophilie" et "pédo-criminalité" relève de la dérive classique propre à la pensée automatique de gauche. Que des élus se prêtent à ce petit jeu est, par contre, des plus inquiétants.
Depuis sa création, le BAF réclame publiquement une dépédophilisation de la société, monde politique inclus, et de l'enseignement, cursus compris (exit Sartre et cie.).

Baf	Pédophilie: GAUCHE vs FREYSINGER
Accueil	10.05 Le PSS tempère les propos de Carlo Sommaruga Le parti socialiste suisse, par l'intermédiaire de son porte-parole, M. Jean-Philippe Jeannerat, renonce à désavouer Carlo Sommaruga "sur le fond", tout en se défendant d'avoir une "ligne laxiste" sur le problème de la pédophilie. Pas d'opposition fondamentale à l'initiative du Conseiller Freysinger, cette initiative est même qualifiée de "bonne idée", laquelle, toutefois, va trop loin pour les socialistes qui lui préfèreraient la création d'un "registre spécialisé". Après les vives réactions suscitées par les propos de M. Sommaruga la semaine dernière, le parti socialiste se veut rassurant sans cesser de camper sur des positions d'un prudence extrême. Prudence qui gênera tant que des actes clairs n'auront pas été posés par le Parlement sur cette question de l'avenir de la "réinsertion" des pédophiles en Suisse. L'initiative Freysinger, qui pouvait sembler une énième manoeuvre opportuniste, se trouve être à présent le révélateur d'un problème réel au sein de notre gouvernement: petites querelles de partis et élus nationaux incapables de s'entendre rapidement sur une question d'une l'importance telle que la sécurité de nos enfants. Un "moindre mal" est parfaitement admissible en terme légal pourvu que le principe de prévention de la récidive soit clairement posé; on ne peut pas attendre! Entretien (7'24) 07.05 Christine Bussat, présidente de la marche blanche suisse, réagit aux propos du Conseiller Sommaruga: "Un ramassis de conneries" ! Christine Bussat a tenu personnellement à répondre aux propos du Conseiller national socialiste Carlo Sommaruga. Mise en garde: "J’ai écouté le ramassis de conneries de M. Sommaruga. De toute évidence, il prend les parents, les citoyens, pour des demeurés. Il met le tabou de la pédophilie sur le compte de l’Eglise. Il laisse entendre un peu trop clairement que le problème de cette initiative, c’est Freysinger et non le texte en lui-même. Il dit que les statistiques démontrent que 95% des abus sont commis dans la famille. Je me demande où il est allé chercher ce chiffre. Il ne dément pas qu’il y a de la pédophilie sur internet, mais il a dû manquer une page de ces fameuses statistiques: 70% de hausse des sites pédophiles en 2003 ! Il oublie que la pédophilie sur internet, ça n’a rien de virtuel, et que derrière chaque image, il y a un enfant. Il dit qu’à tout moment on pourrait connaître le passé du pédophile. Un extrait de casier judiciaire ne peut être demandé par une tierce personne. M. Somaruga ne sait-il donc pas çela ? Il suggère des thérapies et des traitements pour les pédophiles. En dehors du fait que la majorité des citoyens n’ont que faire du bien être du pédophile, M. Sommaruga oublie que les victimes (d’abord !) manquent cruellement de structures ! Je remercie toutefois M. Sommaruga pour la faible tenue de route de ses propos, qui, j’en suis sure, renforceront dans leur conviction ceux qui tiennent à l’intégrité des enfants davantage qu’à l’envie de contredire la partie adverse !". Ecrivez aux membres du groupe socialiste de l'Assemblée fédérale 06.05 Accusations de Freysinger. La gauche se défend... bien mal Sans nier que de tels propos - une distinction entre pédophilie et pédocriminalité - aient été tenus, le Conseiller Carlo Sommaruga (PS, GE) dit ne pas savoir où lesdits propos ont pu être tenus. "La pédophilie est un problème social qui a été occulté par les secteurs conservateurs et surtout par la culture catholique", a ajouté le conseiller national socialiste. Les mesures proposées par l'initiative du Conseiller Freysinger sont assimilées à "des instruments qui font partie d'idéologie répressive et de contrôle sociale d'extrême droite". Une solution? "Des obligations de thérapies... suivi médical imposé par les autorités avec un contrôle strict qui permette d'avoir un monitoring de la justice sur ces personnes". La pédophilie a peut-être été occultée par la culture catholique, mais surement pas promue, louée, encouragée, favorisée comme le fait la culture de gauche depuis 40 ans (voir notre dossier: pacs, homosexualité, pédophilie [actuellement offline, disponible sur demande]). M. le Conseiller nous a avoué ne pas se retrouver dans la ligne rédactionnelle de notre site, nous tenons à le rassurer, nous ne nous retrouvons pas non plus dans ses propos. Entretien (13'02) 04.05 La gauche protège-t-elle les pédophiles ? Freysinger pris à parti par la gauche pour son combat contre la pédo-criminalité Auteur d'une initiative parlementaire pour la non-radiation du casier judiciaire des condamnations pour pédophilie, actuellement en commission juridique, le Conseiller national Oskar Freysinger (UDC, VS) dit avoir été violemment pris à parti par des Conseillers issus de la gauche parlementaire. Bilan: La commission sursoit, on en reparlera lors de la prochaine révision du code pénal... ou à la Trinité. Cette initiative, si elle avait été adoptée, aurait pu empêcher, dès à présent, un grand nombre de récidives. Depuis mai 68, la gauche n'a décidément rien oublié, rien appris. Vouloir distinguer "pédophilie" et "pédo-criminalité" relève de la dérive classique propre à la pensée automatique de gauche. Que des élus se prêtent à ce petit jeu est, par contre, des plus inquiétants. Depuis sa création, le BAF réclame publiquement une dépédophilisation de la société, monde politique inclus, et de l'enseignement, cursus compris (exit Sartre et cie.). Entretien (6'55) L'initiative du Conseiller Freysinger Pour information, voir la loi